Les expositions temporaires

Le genre allégorique consiste à représenter une idée par un personnage, un animal, une plante ou un objet. Très en vogue au XVII^e s., il a imprègné les arts et la littérature de toute l'Europe via un ouvrage venu d'Italie, l’Iconologia. L’image ou le texte allégorique raconte une histoire apparente, tout en apportant un message plus abstrait. Comment le décoder ? Tel a été le secret de ce parcours adapté aux enfants, à travers les œuvres des plus grands peintres de l'époque : Vignon, Vouet,  La Hyre, Champaigne, Le Brun, Mignard...

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En 1923, le Département rachetait un domaine de Sceaux en état de délabrement, le sauvant ainsi de la disparition. Pour célébrer les 100 ans de cette acquisition, un parcours a retracé l'histoire de cette grande demeure sur une période peu explorée : de la seconde moitié du XIX^e s., où fut construit le Château actuel, aux années 1950, où aboutit enfin la restauration des lieux.
En parallèle, un reportage du photographe Eugène Atget, effectué en 1925, a été présenté dans le parc : les clichés, affichés aux emplacements où ils furent captés, offrent un poignant témoignage du Domaine rendu à l'état sauvage...

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En 2022, le musée des Beaux-Arts d'Orléans a prêté quelques 200 dessins au Domaine de Sceaux, illustrant cinq siècles d'art graphiques ! Ces chefs-d'œuvre inestimables ont inspiré une exposition en deux actes, de la Renaissance au XVIII^e s., puis entre la période révolutionnaire et le XX^e s. C'est ainsi que le public a pu suivre l'évolution du trait, à travers tous les courants artistiques : classicisme, romantisme, art du portrait, art du paysage, cubisme, dadaïsme...

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Une rétrospective couvrant l'ensemble de la carrière artistique du sculpteur, illustrateur et lithographe français Jacques Zwobada. Cette exposition a permis de découvrir deux aspects de son art, le dessin et la sculpture, des portraits intimes aux dessins monumentaux et aux grands bronzes qu'il réalisa après le décès de son épouse. Deux formes d'art complémentaires et indépendantes que l'artiste mit en résonnance, lorsqu'il bascula vers l'art abstrait à partir des années 1950.

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C'est à Jean-Baptiste Colbert, né en 1619, que le Domaine de Sceaux doit son cachet et ses plus beaux décors. Mais au-delà du ministre et homme de goût, dont on célébrait le 400^e anniversaire, se cache aussi une famille... À travers des portraits et objets de collection, l'exposition a rendu hommage à ce "clan" des Colbert, affluents à l'époque de Louis XIV et grands amateurs d'art.

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Elle fut la première girafe à fouler le sol français en 1826. Offerte au roi Charles X par le pacha d'Egypte, elle atteint Paris au terme d'un voyage aventureux et sa silhouette exotique inspira de nombreux décorateurs, joailliers, illustrateurs... L'exposition a retracé son périple, et l'engouement qu'elle déclencha !

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